le vendredi 8 décembre 2017
L’une des distractions les plus fréquentes et les plus appréciée quand on est dans son lit c’est de compter les moutons. Seulement je n’aime pas faire des cauchemars avec ça. Ça serait comme regarder un pendule tiltant perpétuellement. J’aurais donc l’impression de repousser les limites du dodo, pas l’animal décédé mais le repos mérité du guerrier. Quelle angoisse ce serait pour moi de compter les limites de mon sommeil. Je penserais sûrement à fermer plusieurs fois la porte de la serrure, (...)